VIVIENNE STRINGA

Nous avons (VOIR) dans quel état l’être humain a (METTRE) la planète. Nous avons (LIRE) dans
les journaux tous les ravages qu’ont (CAUSER) caus les grosses industries autant dans les
régions dites (CIVILISER) que dans les coins les plus (RECULER) recul.
Les mammifères sont (PERCEVOIR) per comme des quantités négligeables, les oiseaux
sont (DÉCIMER) , les poissons sont (INTOXIQUER) intoxi et la végétation a vu ses espèces dépérir
sous les assauts (RÉPÉTER) rép de certains investisseurs à la morale douteuse. Dépités, les
autochtones en sont (RÉDUIRE) réd à regarder leur territoire s’effriter inexorablement.
Les efforts qu’ont (DÉPLOYER) certains groupes « verts » ont plus ou moins (PORTER)
fruit. Les sommes qu’on a (DEVOIR) investir ne sont que la pointe de l’iceberg (COMPARER) com
à celles qu’on devra débourser dans l’avenir pour rétablir l’équilibre ténu de
l’écosystème.
De plus, il ne faut pas oublier que l’État n’a pas toujours (PRENDRE) ses responsabilités
au cours des décennies (PASSER) pas, entraînant ainsi une dégradation (MARQUER) mar de nos
étendues territoriales. Les faibles amendes qu’il a (IMPOSER) impo, les mesures (SOUHAITER) souhai
qu’il a (ANNONCER) annon mais qu’il n’a pas (APPLIQUER) appli, les informations qu’il n’a pas
(DIFFUSER) diffu, etc., tout cela a (MENER) le monde à un équilibre (ROMPRE) . Bref, il faut se
hâter, car notre planète est (MENACER) men par l’incurie (GÉNÉRALISER) généra.